• Je vous passe sa biogaphie, en prenant Navire Night au hasard dans la bibliothèque de ma mère elle ne me dit seulement cela "Un peu comme André Gide, en pire" 

    Alors je me précipite à cette lecture, n'étant pas doué avec les mots voici quelques citations (qui m'ont fait frémire) 

    "connexion du gouffre téléphonique" 

     

    "Elle lui téléphone en même temps que lui dans l'espace et le temps.

    Ils se parlent.

    Parlent" 

     

    "— L'histoire est arrivée ?

    —  Quelqu'un dit l'avoir vécue en réalité, oui
     Et puis elle a été raconté par d'autre 
     Et puis elle a été réditée.
     Ecrite. "

     

    Pourquoi frémissante ? 

    a cause de la narration métaphysique;  "un journal de bord" à l'interieur du récit. 

    Ensuite j'ai lu (le lendemain de cette nuit) , Hiroshima mon Amour , là n'ayant pris que trop peu de note je ne vous laisserais pas de citation, je voue confie seulement que c'est un scénario (de film) , une mise en abyme d'arrière plan, et un passage extraordinaire ou Elle semble possédé par Elle de Nevers. (Phrase incompréhensible sans lecture ; désolé... ) 

     

    Bref, il existe un film pour ses livres respectifs (sous volonté de Duras) 

    A présent je lis Moderato Cantabile, je vous en parle bientot. 

     


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  • Attention au spoil et a ma propre interprétation (influencer ou non par mes anciennes prise de notes de mon excellente professeur, à qui je pense encore avec grand respect et bien sur par ma grande amie avec qui nous avont eplucher ce petit trésor) 

     

    " "C'est le moment de croire que j'entends des pas dans le corridor", se dit Bernard. Il releva la tête et prêta l'oreille. Mais non : son père et son frère ainé étaient retenus au Palais ; sa mère en visite ; sa soeur à un concert ; et quant au puiné, le petit Caloub, une pension le bouclait au sortir du lycée chaque jour. "

    Quel entré narrative plutôt joliment tournée non ? Je ne sais pas bien pourquoi mais la narration qui s'incruste me delecte. Le "Mais non". 

     

    Les chapitres de ce livres sont assez courts, quelques pages parsemené dans 3 parties (de 18-7-18 chapitres respectivement) 

    On entre dans ce livre avec donc le personnage de Bernard Profitendieu un bachelier, qui réparant une pendule trouve sur une lettre péremptoire. Doucement on comprend qu'il est l'enfant d'un ancien amant à sa mère. Il en est ravi. "Ne pas savoir qui est son père qui est son père, c'est ca qui guerit de la peur de lui ressembler." 

    Je passe furtivement qu'il replit précisément la treizième lettre. Puisque n'oublions pas ce livre est un peu "démoniaque" 

    Se perd dans le premier un paragraphe d'ailleurs : "La famille respectait sa solitude ; le démon pas". L'on comprends bien qu'il sera l'héros à suivre puis qu'il y a un démon qui l'accompagne. 

    Le démon c'est qui ? Le lecteur trop curieux, Le narrateur machiavelique, un autre personnage personifié ? 

     

    Il y a tellement de chose à dire, et je suis très désorganisé et sans ligne de mire alors bon, je garde mes frustration de ne pas parler du crystal.... 

    Bernard décide de partir de chez lui "fugué". Pour la première nuit il pense à son (meilleur) ami, Olivier Molinier. Il sait ou le trouver "le génant, c'est qu'Olivier ne sera pas Seul. Tant pis ! je saurais le prendre à part." 

    C'est exactement ce qu'il fait avec brio pendant que le lecteur suit la narration qui se moque vaguement des jeunes littéraires aveuglent, ceux qui ne savent pas lire (Non non je ne me sens pas comme eux... ... oui oui je ne sais pas lire, j'apprends à observer.... J'apprends lentement mais j'apprends..... ) 

    Bref par ces discussions de "groupe" On observe bien le petit lien d'amitié entre Bernard et Olivier. Bernard est "sociable" et à l'aise, mais le seul qui l'interesse est Olivier. Olivier, c'est un timide garcon avec de "secrète reserve". 

    Jeu social : "Bernard n'écoutait plus le discoureur ; il jugeait malséant de s'écarter trop vite, mais déjà prêtait l'oreille à d'autres qui se quelleraient derrière lui et qu'Olivier avait rejoints" 

    Lorsque Bernard le prend à part, , pendant que la dispute, il lui demande donc à dormir cette nuit chez lui. 

     

    Ce premier chapitre se finit sur une discussion entre Olivier, "qui ne voulait pas qu'on ne le vît s'isoler qu'avec Bernard", et Lucien Bercail. Celui-ci lui étale un projet d'écriture sur l'histoire d'un Lieu. 

     

     

    (Euh bruh je crois que ca sert à rien de juste dire cela, lisez ce livre c: ) 


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  • Hello, Les Faux-monnayeurs d'André Gide, est vraissemblablement le premier livre dont j'ai pris un immense plaisir à décortiquer, autant en cours, avec mes amis ou toute seule.  (Pour une fois que l'éducation nationnal offre pépite... )

     

     

    Ce dont je voulais parler et du personnage de Robert Passavant. 

    Tout d'abord, remarquez le "jeux de mots".  Pas savant / Passe avant ..  (Zoom pas savant...)

    Je spoil et ne rapellerais que quelques souvenirs décronologiquez, ca ira ? 

     

    Robert est l'une des figure diabolique du roman, mais, il reste un "petit joueur" le vrai diable est fin et écrase Passavant.

    Le comte de Passavant entre en scène au côté de deux personnages -de même importance dans le roman- Lady Lilian Griffith (une des Figures diabolique) et Vincent (Victime du démon). Robert, le comte de Passavant, prête de l'argent à Vincent en fait l'un de ses amis. Robert est un superficielle Homme de lettre, riche et connu. Il écrit "La barre fixe" roman tomporel "fixe" à l'opposé de l'autre écrivain du roman : Edouard qui lui, cherche à écrire un roman intemporel. Autant les esprrits affaibli s'écrase devant Passavant (les frères molinier ; Vincent et le jeune Olivier) autant le diable ridiculise aisément Passavant. Bernard et Edouard méprise le compte ; Edouard pour le côté faux-romancier qu'il lui semble être Robert ; Bernard critiquant les paroles rapportés par Olivier. 

     

    Robert écrit lui-même, anonymement, les critiques de ces romans. 

     

    Ce que je veux dire, est que Robert n'est pas le diable, il n'est seulement que vicieux et très probablement un pion du Diable. Puisqu'il y a bien personnage très diabolique qui traine dans ce roman, assez visible, il laisse quelques traces.

    Robert est un faux-démon et un faux-romancier aussi j'aimerais ajouter un homme sans profondeur d'esprit.  Tout est clair dans sa discussion avec le personnage qui incarne un vrai-diable. Il l'écoute sans broncher et n'est que admiratif. 

     

     


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  • ARTICULATION

     

    Et go to go and go

    Et garce!

    Sarcospèle sur Saricot,

    Bourbourane à talico,

    Ou te bourdourra le bodogo,

    Bodogi.

    Croupe, croupe à la
     
    Et bourrecul à la misère. 

     

     

    Je ne vais pas analyser ce poèmes (J'ai ni les compétences, ni les outils) 

    Déjà, c'est un poème que j'ai appris par coeur l'année dernière, à force de le réciter à mon amie. (Elle a bonne mémoire alors elle doit l'avoir quelque part dans son crâne) 

    Pourquoi l'avoir réciter ? Pour les articulations qu'il entraine à faire. Venons rapidement au sens qui sera plus ou moins libres, orientés et multiples. 

    déjà le "bourrecul à la misère" semble clair, le "garce" aussi. Pour le reste, c'est sans aucun doutes des mélanges,contractions, des sonorités pleines de sens. (Je vous l'ai dis j'ai pas les compétences, je ne peux que vous parler de la surface de ce poème) 

    Exprimer clairement mes pensées à propos de ce poème, aussi n'ai-je pas fait l'effort de m'y pencher, est donc compliquée aujourd'hui. 

     


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  • D'abord il y a un article un peu flou ou je parle un peu du conte d'Ise. (Entre 3 anecdotes) Mais n'y allez pas forcément, Les conte d'Ise pour la définition la plus simple : nous suivons un jeune homme en Exil. 

     

    Au chapitre 9 :  pont à 8 planches et ses Iris. 

    Le jeune homme se sent remplis de tristesse à cause de l'éloignement et de son amour laissé à la capitale. Le voici arrivant avec ses amis au bord d'un étang et apercoit un pont où pousse des Iris (Kakitsubata). Ses amis qui l'accompagne propose un jeu : Ecrire un poème en acrostiche avec Kakitsubata. Le jeune homme en profite pour parler de son éloignement à la femme qu'il aime. 

     

    KAragomo                    : "Comme un beau vetement"

    KItsutsu narenshi         :  "Auquel on s'est attaché en le portant"

    TSUma shi areba          :  "J'ai une femme"

    HArubaru kinuru           : "Dans ce voyage qui m'a amené si loin"

    TAbi oshi zo omou         : "Je pense à elle avec regret"

     

    (La traduction n'est pas de moi, mais d'un conférencier ---> Lien youtube conference )  (Je n'ai pas bcp de mérite de repeter une parole avec des mots un peu moins fort... )

     

     

    Bon, aussi je voulais préciser qu'au Japon, dans des pubs, emballages de biscuits, des estampes font référence à des passages comme celui-ci. Par exemple un pont et des Iris rappelleront immédiatement les contes d'Ise au Japonais. 

     


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