• Les trois, quatre, livres que j'ai lu et qui m'ont marqué

    Je ne lis pas beaucoup mais un peu quand même... et des fois j'adore ce que je lis.

     

    André Gide : 

    Les faux Monnayeurs :

    CONTEXTE :  Bon, bah l'année de mon bac de littérature c'était l'oeuvre au programme. Avec le plus grand plaisir et avidité j'ai mangé ce livre. Une excellente professeur de Littérature nous l'a merveilleusement bien renseigné. Ma très grande amie et moi l'avons disséquer. Et comme c'est le premier ouvrage que j'ai étudier de mon oeil le plus avisé, je l'aime d'amour. Ah, j'englobe le journal des faux monnayeurs avec, puisqu'il apporte une autre vision ? 

     

    PRESENTATION (plus ou moins vagues) :  Une carte au trésor, vers le tutorial "comment ecrire un faux roman" ; Quant au journal, il y a des pépite. Des pépites genialissimes. C'est de l'or, servez vous.  (Certe il y a de l'or parsemée dans certainement beaucoup de crane humain. 

     

    TRANSITION (rigolote) : Dans le journal, Gide parle de Stendhal, je ne sais plus quel mot exactement m'ont fait poursuivre avec Le rouge et le noir de ce dernier. 

     

    Stendhal

    Le rouge :

    CONTEXTE : Gide m'a dit de lire. Rox perd patience, et se précipite sur la fin du rouge, Je n'ai pas lu la partie 2... 

    PRESENTATION : J'ai reconnu quelque lien avec Gide. Et quel rigueur. Il y a des choses qui m'ont fait frissoner... Le voyageur... 

     

     

    Henri Michaux

    La nuit remue

     

    CONTEXTE : Ma grande amie l'étudirait pour cette année, et me le conseil. 

    MAIIIIIIIIIIIIIIS CE GAAARSSS est fan de Lauteréamont, C'était sure que j'allais l'aimer ce Michaux.  

    PRESENTATION : Recueil de poème fort sympathique si l'on aime "et go to go and go et garce! Sarcospèle sur saricot, bourbourane à talico, ou te bourdourra le bodogo, bodogi. Croupe, croupe à la Chinon. Et bourrecul à la misère" Articulations. Ah, et l'éther bordel

     

    Epreuves, exorcismes

    CONTEXTE : J'ai acheté ce livre plus ou moins par hasard. J'attendais le tram lorsqu'il me vient à l'esprit de relire les deux phrases intrigantes que j'avais entrevue lors de l'achat. Evidement, je reste un peu plus longtemps que prévus assise sur le trottoire et lire des poèmes. 

    PRESENTATION : On reconnait la pâte à Michaux. C'est très bon. Allez une petite citation : 

    " On n'aime plus le jour. Il hurle. On n'aime plus la nuit, hantée de soucis. Mille voix pour s'enfoncer. Nulle voix pour s'appuyer. Notre peau se fatigue de notre pâle visage [...] "Se garder soi dans le sien ?" Vous n'y ssongez pas ! La maison solitaire n'existe pas dans l'île aux perroquets "    La lettre

     

    Lautréamont

     les chant de Maldoror :

    CONTEXTE : Mon papa aime Noir désir, et en entendant " c'est Lautreamont qui me presse dans les desert  " Et puis, par un heureux hasard tombant sur ce dernier livre, décide de l'acheter, et de le mettre de côté, jusqu'à ce que La petite lycéenne Rox tombe dessus. Et mange ce livre. J'ai encore quelques de ses tournures de phrases dans mon esprit, "Plût au ciel que le lecteur, enhardi, et devenue momentanément féroce, comme ce qu'il lit, trouve, sans se désorientée son chemin abrupt  et sauvage à travers les marécages désolées de ces pages sombres et pleine de poison; car à moins qu'il n'apporte à sa lecture une logique rigoureuse et une tension égale au moins à sa defiance, les emanation mortelle de ce livre imbiberont son âme comme l'eau le sucre" Et je remet celle ci, car c'est les premiers mots du premier chant. Et naive, peu rigoureuse et sans tension d'esprit, je ne suis pas la meilleure des lectrice. Mais je l'aime d'amour. 

     

    PRESENTATION : Oups, j'aurais peut être mieux fait, de citer par ici, tant pis j'en profite pour ajouter, que aussi morbide et cruelle soit ce livre, il n'y a pas moins des pépites d'or. Et je suis qu'un lecteur avisé saurait apprecier la dissection de cet ouvrage. De plus, Lautreamont a perverti mon pauvre esprit tout en le réconfortant. Que ce soit par les ongles sur le cœur de l'enfant ou Le salut au viel Ocean. Enfin, je m’arrête ici. Lautreamont m'a imbiber de son parfum autant que Gide

     

     Bernard Werber

     

    Le miroir de Cassandre

     

    CONTEXTE : Alors alors, d'abord j'avais lu plusieurs de ces livres (facile à lire et interessant) dont le cycle des fourmis, (l'encyclopédie du savoir absolu et relatif) , Nos amis les humains, plus tard le cycle des dieux.. 

     

    PRESENTATION : Vous aurez compris cela parle d'une fille nommé Cassandre, il me semble qu'elle est dans un institut pour autiste. C'est heroine très attachante, je ne me souviens plus bien de son caractère m'enfin. Il lui arrive quelques événements, elles rencontrent des "clochard" qui vivent dans une décharge, elle se lie d'une certaine amitié avec cette équipe ci... (je spoil désolé ? )


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